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Associations environnementales
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22 avril 2019

La solidarité internationale montre ses limites

 

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Depuis les 40 dernières années, les pays les plus riches n'hésitent pas à faire des dons généreux pour que le continent africain en finisse avec la pauvreté. En 2008, le montant de l'aide internationale pour le développement des pays les plus pauvres ont battu des records en atteignant 120 milliards de dollars. En parallèle, l'Afrique continue de devenir encore plus pauvre et la croissance y est toujours aussi faible. L'injection d'argent continu de l'aide international provoque de nombreux effets pervers pour tous les pays qui en dépend. Cet argent alimente la corruption et freine la croissance économique des pays africains.

 

De plus, on constate que la richesse par habitant y est aujourd'hui plus faible que dans les années 1970. Pour sortir de cette spirale où les pays développés aident les plus pauvres pour se donner bonne conscience, des solutions semblent viable pour assurer un développement au continent africain. Si on prend les exemples de l'Afrique du Sud et du Botswana, on peut voir que ces deux pays ont connu un développement les plus important du continent. Des similarités sont visibles : comme une stabilité politique avec une administration démocratique, stable et peu corrompue et encourager le commerce. On peut voir que l'aide international qui est en baisse dans ses pays on permit au PIB par habitant d'augmenter significativement.

Cependant, les coups d’état et les guerres civiles ruinent les pays, la stabilité politique semble donc très importante. Avec le réchauffement climatique et les difficultés qu'il cause comme l'accès à l'eau, les tempêtes, les inondations et les cyclones qui dévastent des régions très pauvres, les sécheresses qui réduisent le rendement des récoltes et la banque de semence...

 

La question suivante peut alors se poser : l'argent dépensé pour l'aide international montre ses limites, comment l'utiliser cet argent d'une meilleure manière ?

Des ONG et des associations ont changé leur mode d'action pour venir en aide aux populations les plus pauvres. Pour exemple, CCFD Terre-solidaire finance des projets directement auprès des paysans locaux. Cela permet de créé des projets innovants pour lesquels les populations locales n'auraient pas pu financer. L'ONG s'assure que ses projets sont viables dans la durée et respecte l'environnement. Cette démarche permet un développement de l'économie locale et d'assurer par exemple une meilleure sécurité alimentaire et économique. L'argent ne sert donc plus à la corruption mais contribue à la croissance du pays.

Une autre alternative est de limiter les catastrophes naturelles qui impactent le monde entier, dont les plus pauvres ont du mal à s'en relever. La pollution est principalement émise par les pays les plus riches, et les plus impactés sont les pays les plus précaires. Comment agir contre cela ? Des associations environnementales essayent d'atténuer le changement climatique dans les pays ldu Nord. L'argent qui alimente la corruption dans les pays africains devrait être investie autrement. En effet, la solidarité climatique dans lesquelles sont engagés de nombreuses associations devraient se voir accorder des budgets plus conséquents des États et des donateurs pour mener leurs actions de plaidoirie et de réduire les émissions de CO2 qui engendre des dégâts indirecte aux pays sous-développés. Cet argent investi ne se contentera pas d'aider les plus vulnérables, mais aiderait aussi les pays du Nord, eux aussi victime du changement climatique. Les politiques migratoires des pays Européens sont aujourd'hui un sujet de discorde et la solidarité climatique serait un moyen de limiter les migrations et les guerres civiles dues à acceptabilité à l'eau pour que ne cité que lui.

 

L'aide international mené par les pays les plus riches nuis au développement économique du continent Africain et a montré ses limites. Il y a des manières alternatives d'investir cet argent pour aider les plus pauvres. Aujourd'hui, la solution qui peut sembler la plus cohérente et de réduire les dons d'argent aux pays africains pour qu'ils puissent connaître une croissance économique comme cela a été le cas pour le Botswana, et de réinvestir l'argent auprès des associations environnementales et ONG qui prennent en compte le dérèglement climatique. Cependant, la difficulté est que les fonds investies ne serait pas visible immédiatement, ce qui est aujourd'hui le problème majeur de la solidarité climatique. Les politiques des pays du Nord se verront donc critiquer se modèle où les effets notables se verront peut-être d'ici de nombreuses années.

 

Sources :

- « Pourquoi l'aide humanitaire est nuisible à certains pays d'Afrique», Guillaume Varnier [ 31/03/2009 ] ; [En ligne] Disponible sur: http://www.ifrap.org/europe-et-international/pourquoi-laide-humanitaire-est-nuisible-certains-pays-dafrique

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Commentaires
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  • L’environnement est une problématique qui sensibilise de plus en plus de citoyens et pour cela, le bénévolat associatif permet de rendre possible cette démarche d’engagement, de solidarité, de mobilisation de soi et de changement.
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